Cap Canaveral – C’est un petit pas pour la femme, un grand bond pour l’esthétique spatiale : Katy Perry a prouvé ce que la science n’osait même pas envisager – le Botox, ce vaillant élixir de jouvence, tient bon face à l’absence de gravité.
Lundi matin, la planète entière retenait son souffle (et certains leurs rides) alors que la célèbre chanteuse américaine montait à bord de la fusée New Glamazon, une mission spatiale 100 % féminine, gracieusement offerte par Jeff Bezos, bien connu pour son amour des étoiles… et des visages bien lisses.
Les injections du futur
À plus de 100 kilomètres d’altitude, dans une microgravité capable de faire flotter une cuillère ou une carrière musicale, les caméras embarquées n’ont rien manqué : le visage de Katy Perry n’a pas bronché. Pas un froncement de sourcil, pas une ride d’anxiété quand la capsule a traversé la ligne de Kármán. Rien. Un masque d’impassibilité glamour, défiant les lois de Newton et de la nature.
Le Dr Gina Fillmore, experte en dermo-spatiale à la NASA (Nouvelle Académie du Soin et de l’Anti-âge), s’est dite « émerveillée » :
« À cette altitude, le corps humain réagit très différemment. Mais le Botox ? Imperturbable. C’est comme si chaque molécule criait : Houston, nous n’avons aucun problème de relâchement cutané. »
Une mission de paix et d’acide hyaluronique
Katy Perry, de retour sur Terre avec son brushing intact et ses pommettes en orbite, a déclaré en conférence de presse :
« J’ai vu la courbe de la Terre… et mon reflet dans le hublot. Je n’ai jamais été aussi liftée par l’émotion. »
Les autres passagères, toutes influentes dans le monde de la cosmétique ou du développement durable (et parfois des deux), ont salué une mission pionnière :
« C’est la première fois qu’un vol spatial prouve qu’on peut entrer dans l’atmosphère et en ressortir avec le même contour des yeux. »
Et après ?
Blue Origin a annoncé vouloir lancer d’autres expériences scientifiques : prochainement, un test de manucure en apesanteur et une étude sur la tenue du contouring à 6 G. De son côté, Elon Musk prépare une contre-offensive esthétique avec une gamme de soins SpaceXpress Lift, livrée directement en orbite par drone Tesla.
Dans les rues, l’émotion est vive :
« On envoie des robots sur Mars, mais là, on parle de vraies priorités », a commenté une influenceuse beauté à la sortie d’un Sephora.
« Si le Botox tient dans l’espace, il tiendra sur la plage cet été. »
Prochain épisode : la cryothérapie sur Neptune, ou comment faire peau neuve à -200°C.