Yoann Aslan et Giovanni Sandrini, les deux policiers suspectés d’avoir dérobé l’entièreté d’une importante saisie de drogue dure trouvée chez un dealer parisien, affirment n’avoir rien à déclarer. Ils ne veulent pas non plus s’exprimer sur leur absence injustifiée d’une semaine arrivée après la disparition de la drogue.
Les soupçons qui portent sur eux sont d’autant plus lourds que les deux collègues sont revenus au travail avec quelques kilos en moins et les joues creusées. L’IGPN arrivera-t-elle à résoudre cette affaire pour le moins obscure ? Sait-on jamais.
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