Déjà accusée d’avoir une faible estime de l’humanisme, l’armée d’Israël « Tsahal » vient de tuer un enfant palestinien de 8 ans: les soldats pensaient le voir armé d’un couteau alors qu’il s’agissait d’un Coran.
Aujourd’hui le petit Abib Mahkzaouri revenait de son école islamique de Tel-Aviv, portant son Coran à la main. Des soldats israéliens patrouillaient sur son chemin et, devenus légèrement susceptibles et impulsifs depuis plusieurs attaques aux couteaux, ont vu ce petit arabe se promener devant eux. Répondant à la nouvelle instruction militaire A25-12C alinéa 4E de ces derniers jours « Un arabe se promène rarement dans la rue sans mauvaise intention », ils ont décidé de cribler de 27 balles le visage du jeune Abib.
Après l’intervention d’un médecin pour vérifier la mort du présumé-terroriste et le qualifier hors d’état de nuire, les soldats purent découvrir qu’il s’agissait simplement d’un Coran et non d’un couteau.
Le gouvernement israélien vient d’exprimer par facebook ses profondes condoléances aux éditions Jacob Bensoussan, dont le Coran qu’ils publient est désormais taché par du sang.
« Nous ne sommes pas des sauvages intolérants, NOUS. Nous respectons les livres sacrés d’autres croyants, et chacun de ses ouvrages salis est une tragédie. Concernant le petit Abib Mahkzaouri, ses parents sont priés de venir le chercher immédiatement, de nombreux touristes commencent à se plaindre de l’odeur »