Quelques jours après la fin de la conférence sur le climat qui s’est tenue à Paris début décembre, les langues se délient.
Ainsi, selon une source proche du dossier, le grand perdant ne serait autre que le Vatican. C’est en effet la cité papale qui devra délier le plus les cordons de la bourse pour se conformer à l’accord international sur le climat.Comme l’explique notre source, Pietro Parolin, le Cardinal secrétaire de l’Etat du Vatican, n’a rien pu faire face à l’effet de masse de tous les chefs d’Etat. Il a donc été décidé à l’unanimité par les 195 pays que des travaux devront être effectués dans la chapelle Sixtine. Une cheminée électronique devra être installée sur le toit, ce qui engendrera d’importants travaux et sans doute la démolition du plafond de Michel-Ange qui sera remplacé par une projection de l’original en hologrammes.Cette mesure permettra surtout de ne pas devoir brûler le corps du vieux pape lors de l’élection du nouveau. Selon une étude récente effectuée à l’Université de Raqqa, toutes les fumées (qu’elles soient blanches ou noires) s’échappant de la cheminée à la suite des conclaves ont été à l’origine de 0,03% du réchauffement climatique.Le Pape François 1e n’a pas encore tenu à réagir, mais il n’a pas démenti. Néanmoins, il ne fait pas l’ombre d’un doute qu’un homme invariablement tourné vers le progrès acceptera cette mesure. En tout cas, il apparaît clairement, à la vue de cette mesure, que la COP21 a été un franc succès et que le climat devrait imperturbablement se radoucir dans les prochains jours.