Pour les hommes et femmes politiques, la question des migrants continue de donner libre cours à toutes sortes de propositions afin de résoudre cette crise.
L’idée du jour nous est offerte par le nationaliste flamand Theo Francken qui songe à loger les migrants au Fort de Breendonk, ex-camp de concentration nazi au sud d’Anvers.
Theo Francken a ainsi déclaré dans un communiqué :
« Je suis parfaitement conscient que ce lieu est aujourd’hui un musée, où de nombreux petits flamands peuvent découvrir la beauté architecturale du nord de notre pays. Néanmoins, il faut parfois faire des concessions devant une crise de l’immigration aussi massive et revenir à la fonction précédente de ce magnifique panorama; un lieu d’hébergement totalement gratuit et convivial.«
Francken a également dénoncé les actuels camps de réfugiés, qu’il juge indignes et insalubres.
« Au lieu de se morfondre ensemble, en pensant à un avenir incertain, les migrants pourront s’occuper par le travail et se sentir vraiment impliqués dans la construction du nord de notre beau pays. D’ailleurs, par son actuel fonction de musée, les outils et installations du Fort de Breendonk sont parfaitement entretenus et prêts à l’emploi. Je suis persuadé qu’un tel choix d’activités sera bénéfique au bien-être de ces malheureux fuyant les guerres. Après tout, ne dit-on pas « Arbeid Bevrijdt »(Le travail rend libre) ?