L’étroitesse d’un goulot, alliée à la grosseur du bouchon de liège empêche le consommateur de reboucher correctement une bouteille de champagne que l’on vient d’ouvrir.
Ce cruel constat s’est dernièrement souvent avéré au sein de la rédaction du journal Sudpresse.
Récemment les rédacteurs de la feuille suscitée ont débouché trop tôt les magnums, après avoir annoncé à tort la mort de leur rival satirique Nordpresse et de son rédacteur en chef.
Or, à l’instar de Christine Boutin, ce n’est pas la première fois qu’ils annoncent une fin prématurée.
Même si Sudpresse survit grâce à une subvention de l’État, le gaspillage de toutes ces bouteilles ouvertes trop précipitamment commence à gréver leur budget.
Mais grâce à l’inventivité d’un stagiaire et l’aide d’une pince à étau, Sudpresse vient de mettre au point un système pour reboucher les flacons, comme s’ils n’avaient jamais été entamés.
L’imminence du procès intenté contre Vincent Flibustier permettra sûrement aux journalistes de perfectionner cette invention.
Si vous aviez raté l’affaire, voici:
Nordpresse continue et non, les juifs n’ont pas le monopole des limites de l’humour…