Kyllyan-Eudes, habitant de Boulogne Billancourt, près de Paris, fait partie des personnes qui ne croient pas à l’existence de la Covid-19. Souvent qualifié de complotiste, il se défend pourtant de cette image qui lui est collée. Retour, en quelques questions, d’une longue interview filmée qui sera bientôt partagée sur nos pages. Les réponses présentes dans l’extrait ci-dessous ont été traduites dans un français plus conventionnel.
Trouvez-vous légitime d’être vu comme un complotiste ? Comment le vivez-vous ?
Honnêtement, je ne le vis pas si mal. Ce n’est pas l’étiquettes collée sur ma personne qui me gêne le plus. Je ne regarde pas à ça. Ce qui me chagrine, c’est que les gens ne comprennent pas que je fais tout cela pour leur bien. Quelqu’un doit leur ouvrir les yeux, leur montrer que leur liberté est menacée. Mais je me réconforte à l’idée que tôt ou tard, ils me remercieront.
Vous avez décidé de porter un masque avec la mention « le virus n’existe pas », pourquoi ?
Tout simplement parce que c’est la réalité. Le virus n’est qu’un leurre pour nous faire perdre, petit à petit, et surtout sans que l’on ne s’en aperçoive, nos libertés. Tous les droits que nous avons acquis si difficilement ces dernières dizaines d’années dans notre pays. Il n’est pas question de me faire injecter une puce de traçage via un soi-disant vaccin. La France doit rester un lieu où il fait bon vivre, et où chacun est en droit de réaliser ce qu’il a envie, notamment ses rêves. Pour ces raisons, j’ai décidé de faire passer un message pacifiquement, sur mon masque, indiquant que le virus n’existe pas. Les gens paraissent moins choqués par cette façon de procéder.
Pensez-vous que cette action portera ses fruits ?
Très honnêtement, j’en suis persuadé. J’ai déjà donné à quelques amis et quelques intéressés le même masque. Et pour preuve, ni eux, ni moi, ne sommes tombés malade. Pourtant, à entendre les médias et notre gouvernement, à la vitesse où le virus se transmet et à la dangerosité qui lui est attribuée, certains d’entre nous devraient être contaminés, voire hospitalisés, et même pire encore. Mais il n’en est rien, nous sommes tous là et continueront à le montrer, à faire passer le message.
L’intégralité de l’interview est à découvrir bientôt.