Depuis hier soir, Angela Merkel, l’indégommable chancelière allemande, est plantée devant la gare de Cologne, affrontant la neige et le froid.
Son but est, selon son attaché de presse, un descendant de Josef Goebbels, de « s’offrir aux violeurs potentiels, en particulier les migrants, afin de ressentir dans sa chair les souffrances des femmes allemandes ».

 » Du lieber Herrgott! »s’est-elle écriée avec feu tout en grelottant face à des journalistes avides de comprendre son geste. « J’ai décidé de descendre dans l’arène pour m’exposer aux viols des migrants. J’espère que cette expérience me permettra d’affiner la politique d’immigration de l’Allemagne ».
Méconnaissable, la chancelière a troqué son éternel tailleur vert contre un manteau en fausse fourrure (pour ne pas se mettre les ecolos à dos) rouge (pour attirer l’attention).
Sous la fourrure, la dame est entièrement nue mais, par pudeur, n’ouvre tout grand son manteau que quand elle voit passer un migrant. De très hauts talons aiguilles complètent sa tenue, ce qui redresse sa colonne et embellit sa posture.
 » Je n’ai jamais été violee, avoue-t-elle avec un petit sourire triste, mais il me faut vivre cette situation de l’intérieur pour des raisons de pragmatisme politique. J’espère que mon sacrifice ne sera pas vain ».

Depuis de longues heures, Angela Merkel attend les violeurs qui, jusqu’à présent, ne se sont pas manifesté.
« Peut-être s’agit-il d’une stratégie ? », s’est înterrogée la chancelière.
 » Je ne désespère pas et tiens bon, a-t-elle ajouté. Ma force et mon courage sont la force et le courage de l’Allemagne « .

Barak Obama, François Hollande, le roi Philippe, … et bien d’autres personnalités se sont déjà exprimées sur les réseaux sociaux, saluant le courage de la chancelière.
Le grand Jojo à commencé à écrire une chanson en son hommage.  » La Merkel, amaï on ne voit qu’elle, c’est vrai qu’elle est très belle, sur le quai de la gare,… » seront les premières paroles de cette chanson qui, sans aucun doute, sera le grand succès de tous les bals populaires à venir.