A l’approche des fêtes de fin d’année, GAIA rappelle que chacun d’entre nous a la possibilité de contribuer à la cause de la protection animale par un geste simple : faire don de son foie pour la production du délicieux pâté du même nom.
Selon un professeur réputé de la Faculté Agronomique de Gembloux : « en raison de la suralimentation chronique et de l’abus d’alcool généralisé, le foie humain se prête tout particulièrement à la production de pâté de foie gras. Chez l’oie, il est nécessaire de procéder à un gavage forcé pour provoquer la stéatose, dégénérescence de l’organe qui donne au pâté son onctuosité et son goût si riche et particulier. L’être humain occidental étant constamment gavé, son foie peut être utilisé tel quel. »
Le foie humain étant bien plus volumineux que celui de l’oie, le don d’un seul humain permet d’épargner la vie de pas moins de 5 oies.
A l’initiative de la NVA, une campagne d’information a été lancée auprès des nombreux migrants récemment arrivés en Belgique pour les conscientiser de cette possibilité qui leur est offerte de contribuer ainsi immédiatement, concrètement, sans qualification particulière et sans grand effort à l’économie du pays qui les accueille si généreusement. En raison de leur régime alimentaire, les foies de migrants sont cependant légèrement moins adaptés à la production de pâté de foie gras que ceux des populations autochtones.
Les foies de personnes décédées peuvent également être utilisés, durant la semaine qui suit le décès. Un accord écrit du donneur sera demandé dans ce cas.
Pour tout renseignement pratique, adressez vous à votre médecin traitant qui vous informera des formalités à accomplir.