Alors que l’Etat d’urgence vient d’être prolongé pour 6 mois encore, les perquisitions administratives sont de retour et vont se multiplier.
Les forces de l’ordre et les enquêteurs sont tous mobilisés suite à l’attentat de Nice, et afin de déterminer si d’autres étaient planifiés sur le sol français.
C’est lors d’une perquisition dans un commissariat dans le 18ème arrondissement de Paris que des enquêteurs ont fait la découverte d’un drapeau de l’état islamique dans la salle des pièces à conviction.
Le sang des enquêteurs n’a fait qu’un tour face à cette trouvaille.
Tout le matériel informatique a été immédiatement débranché et mis sous scellés.
Les 150 policiers présents sur les lieux ont été placés en garde à vue pour « radicalisation rapide et massive ».
Les policiers menottés que nous avons pu interroger se sont dits « piégés et victimes d’une machination », car selon eux « le drapeau retrouvé était une pièce à conviction, récupérée lors d’une perquisition administrative le matin même. »
Contacté par la rédaction, le Ministère de l’Intérieur a prétexté ne pas être au courant de cette sombre affaire, et n’a pas souhaité répondre à nos questions.