Einstein a dit :
« Deux choses sont infinies : l’Univers et le chantier de L’EPR. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue. »
Il est fort probable que EDF arrive finalement à faire mentir cette sentence du vieil Albert.
En effet, Las de se confronter à d’incessants atermoiements qui retardent le délai fixé pour estimer le sursis envisagé permettant de déterminer l’ajournement du nouveau report de la date de la fin du chantier, les dirigeants D’EDF ont pris une mesure radicale, qui permet peut être d’entrevoir une issue proche à ce drame de l’industrie française.
Fortement impressionnés par les autorités chinoises, qui en pleine crise du coronavirus ont réussi l’exploit de construire un hôpital en moins de 10 jours, les dirigeants D’EDF ont décidé de faire venir ces mêmes ouvriers pour finir notre centrale avant la fin du monde.
Mais que les autorités sanitaires françaises se rassurent, les ouvriers seront vêtus de masques, et leur proximité prolongée avec le réacteur de la centrale tuera toute trace éventuelle de coronavirus qui pourrait infecter leurs corps.
Une fois le chantier terminé, les corps des ouvriers seront amenés directement sur le site d’enfouissement des déchets radioactifs à Bure, EDF économisant ainsi les frais de transport retour des spécialistes chinois dans leur patrie.
Mais bon, le chantier étant encore sous la responsabilité d’architectes et de techniciens français, il n’est pas dit que les chinois arrivent à finir le chantier avant que le dernier humain ne meure du Coronavirus.
Sur une idée de Gottfried von-der-Bruhe