Jean-Marie Le Pen aurait été présent au Népal pour « chercher de nouveaux groupes ethniques à discriminer histoire d’y jeter un œil ». Il aurait été aperçu alors qu’il tentait de grimper l’Everest en monte-escalier. Selon des témoins sur place, c’est à ce moment-là qu’il aurait évacué plusieurs flatulences « avec un grand sourire sur son visage ».
Un acte inadmissible selon sa fille Marine Le Pen, qui était présente sur les lieux de la tragédie en robe de soirée pour rendre hommage aux victimes françaises. Elle aurait refusé de s’exprimer dans la langue locale, précisant : « Je fais partie de la majorité des français, qui parlent peu le népalais. »
Selon des scientifiques, il est extrêmement probable que le séisme ayant provoqué la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011 aurait également été provoqué par Jean-Marie Le Pen de la même manière, ainsi que le séisme de 2004 dans l’océan indien.
Suspecté d’être responsable de la mort de milliers de personnes, il a été mis en garde à vue.