Depuis que Paris se propose comme vile organisatrice des Jeux Olympique de 2024, elle se
cherche de nouvelles disciplines à proposer aux participants. Ainsi si le bowling ou le quidditch a ses chances de faire partie des nouveaux sports, le prince Marouk El Fourrah du Koweit, président de la Fédération Internationale de Kamoulox Pour Deux (FIKPD) et, accessoirement, vice-
président par interim du comité olympique du Proche-Orient (en attendant la prochaine vague de perquisitions par la police anti-corruption du CIO, prévue pour le 17 janvier) est venu présenter à Lausanne, fief du Comité Olympique, les améliorations nécessaires aux règles de base du Kamoulox afin de le rendre encore plus attractif au grand public.
Parmi les nouvelles règles, on peut s’apercevoir que celle dite « du cheval à bascule en trompe l’oeil dans la tante à Monique » se verra simplifiée par l’apparition du monticule de gauche si
personne ne saute dans la flaque en comptant jusqu’à trois, sauf le mercredi. Evidemment, par beau temps, et si Enrico Macias tente dépasser, il est évident que le joueur en kayak à parachute pourra encore se divertir en chantant la Marseillaise en verlan mais ça, seulement, si la choucroute continue de rouler sur la bande du milieu.
L’autre grand changement concerne la place de l’huitre dans le discours d’investiture du candidat à la troisième carte du nain. Il ne sera plus possible, en tout cas en 2024 et spécialement pour les JO, de revenir en caleçon vers la pomme d’arrosoir (même si la voix off demande trois pincées de sel) par contre il se verra récompenser par de la mortadelle fraichement abattue le soir même par Mimie Mathy en opposition. Il est évident que toutes ces nouvelles règles ne plairont pas à tout le monde, en particulier aux français qui viennent de gagner, face à la mer, les derniers championnats du monde avec les anciennes règles et de nouvelles rames.
Un exemple pour les nuls
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