La journée du don d’orgasme invite chacun et chacune à dire à ces proches s’ils sont donneurs ou non. L’etat ayant grandement simplement simplifié cet acte militant, le revers de la médaille est pourtant bien réel. « Nous avons énormément de promesses. Mais au moment de passer à l’acte ces la déception. » raconte le porte parole de l’association. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : seulement 18% sont réellement donnés (tout type d’orgasmes confondu), le reste n’est que simulation (tout type de sexualité confondu). « Donner sa parole c’est bien, la tenir c’est encore mieux. Mais bon les mentalités ne changeront pas du jour au lendemain. »