Ne l’appelez plus Jean-Vincent Placé mais Snorky. « Je voulais que l’on m’appelle Scarface mais non, on verra plus tard. »
Snorky a donc décidé de braver l’interdiction d’ouvrir les bars et autres points de vente de consommation d’alcool. « Mon passé a ressurgit après 2 semaines de confinement. J’ai donc rassemblé une drink team pour se lancer dans l’ouverture de bars clandestins. »
Et ça marche. Sur la capitale, Snorky annonce gérer près de 200 bars clandestins dont 80 dans des écoles « Elles sont fermées, c’est l’idéal ! »
Pour la province c’est plus compliqué mais Snorky a plus d’un tour dans son sac « On a instauré des Covid bars: tous les centres de tests font aussi bars clandestins. Malin le Snorky. »
Seul point noir de cet empire clandestin et lucratif « Je ne peux pas rentrer dans mes propres bars car c’est la police qui gère la sécurité. » Merci quand-même Snorky.