Notre envoyé spécial s’est infiltré auprès de Patrick Balkany, durant les 24 premières heures de son incarcération, à la prison de la Santé, dans le 14ème arrondissement de Paris.
Balkany n’a pas passé une très bonne nuit. Les matelas ne sont pas assez épais, et les couvertures trop fines. Sans compter le bruit des prisonniers qui ronflent et qui hurlent – ainsi que ceux atteints de bruxismes, que nous oublions trop souvent – qui ont dérangé « Patoche » comme l’appelle sa nouvelle bande d’amis.
Les activités sorties en cour de 10 à 11, ou télévision de 16h30 à 17h, aide à forger des rapides avec des criminels venant de multiples horizons. La camaraderie telle qu’il l’a connue au service militaire, voilà ce que Patoche a retrouvé!
Mais le positif s’arrête là. Les repas de la cantine n’ont pas plus à Patoche qui ne les a même pas terminés.
« L’absence de soja sur le poulet est inexcusable », s’époumona même l’ancien maire de Levallois-Perret, en repoussant son plateau-repas.
De plus, Balkany n’apprécie les toilettes et douches communes, ni la qualité du service en chambre sur lequel il nous a demandé de mettre 1 étoile sur TripAdvisor. Nous vous invitons à soutenir Patoche et ses copains, en mettant un avis négatif afin que les services soient améliorés à la Santé.
Nous vous invitons à suivre la suite des aventures de Patoche à la Santé sur notre fil d’actu, la seule info fiable pour suivre la vie de Patrick en prison.