Excédé des scandales qui ont ébranlés les fondements de son juteux business, Dieu est en colère et tient à le faire savoir.
Ses serviteurs n’ont cessé de cumuler les bourdes dans la gestion des problèmes de pédophilie et d’agression sexuelles. Entre les déclarations du pape, qui tente de rejeter la faute des prêtres sur les uniques épaules du diable, pour atténuer sa responsabilité, et la récente lettre de son prédécesseur, qui lui y voit les conséquences de « Mai 68 », l’église catholique cherche des coupables hors de ses rangs.
« C’est dur d’être aimé par des cons » aurait déclaré notre créateur dans une dépêche, que son ange Gabriel aurait transmis à L’AFP pour revendiquer l’incendie.
Et Dieu prévient ses sbires : si ces derniers ne deviennent pas plus raisonnables et continuent de chercher des boucs émissaires de leur propre incompétence, il continuera à nous faire ressentir les foudres de sa colère divine.