Quitte à avoir sa photo dans le journal, autant qu’elle soit avantageuse et délibérément choisie.
Il est toujours désagréable pour une personne décédée de découvrir une photo surement volée dans la rubrique des humains écrasés de certains journaux peu scrupuleux.
Aussi, anxieuse devant a progression du coronavirus, n’ayant pu se procurer des denrées indispensables à la survie que sont les pâte discount, les solution hydroalcooliques et le papier-toilette, elle ont été déposer leur photo préférée à la permanence locale du groupe sudpresse.
Elles auront ainsi la satisfaction de voir leur meilleur cliché dans la rubrique nécrologique de leur quotidien préféré, et celà évitera à un apprenti-journaliste, de copier leur photo profil de facebook (mais on a le droit ma bonne dame, c’est une photo publique!)