Alors que le Coronavirus paralyse le monde entier depuis plus d’un an, renforçant son emprise ces dernières semaines avec l’arrivée de variants divers et variés, et de vaccins avariés, une nouvelle mutation inattendue fait parler d’elle dans le milieu scientifique.
Mais quelle est donc cette nouvelle menace?
Comment le Coronavirus et la PlayStation 5 peuvent être liés? Le professeur Yoast, du SEO, interrogé pour cette enquête, nous dit: « Ce qui semble être une blague s’expliquerait par l’engouement provoqué autour de la pénurie de la console. En effet, les longues files d’attente des joueurs espérant se procurer le Saint-Graal (ndlr. -pour jouer ou le revendre au prix de votre salaire) auraient contribué à propager le virus. Et à le mixer en quelque sorte. Les « heureux » nouveaux détenteurs d’une console étant maintenant porteur du virus, celui ci aurait donc muté au contact des nouveaux composants utilisés dans l’industrie du jeu vidéo. »
« Une suite d’évènements à l’avantage du virus »
Cette industrie, majoritairement située en Asie, n’a pas souhaité nous répondre. Le professeur Yoast a donc analysé les composants d’une manette que nous nous sommes procurés. Et les résultats sont pour le moins étonnants! « Le plastique qui constitue la manette contient du cetipaveraioxyde, connu pour être un perturbateur endocrinien. Il aurait ici joué le rôle de catalyseur au virus. Pire encore, le silicone utilisé pour les joysticks proviendrait de sex-toys recyclés. Et c’est ici un nid idéal pour une matrice nourricière. Un endroit propice au virus.
Comme si ce n’était pas assez, la manette, tenue entre les mains, se trouve à environ 37° Celsius. Une température parfaite permettant au virus d’incuber. Etant en permanence au contact du joueur, le nouveau mutagène n’a donc plus beaucoup d’effort à déployer pour le réinfecter. Et ce même si il était porteur sain au départ! »
Les symptômes sont pour le moins inquiétants. Ce qui commence comme une simple allergie au soleil évolue rapidement vers un état de léthargie. Les cas les plus graves vont jusqu’à la catatonie. On note parfois des cris aigus soudains et répétés, un écoulement de bave et des pupilles dilatées. Étant tout récent, ce variant est bien sûr encore à l’observation. Espérons que les chercheurs réussissent à trouver son code.
J.Dixon