C’est avec droiture que le porte-parole de la République populaire démocratique de Corée a fait son mea culpa: » Nous pensions vraiment qu’il s’agissait du chanteur français Bénabar, d’où son incarcération dans un de nos meilleurs centre de détention. ». Malheureusement après enquête et remontées diverses du personnel de la prison, il s’est avéré que le détenu « chantait plutôt bien et toujours en raccord avec nos instruments de torture. ». Le guide suprême c’est donc rendu sur place afin de trancher et de prendre une décision: « C’est une méprise, ce n’est pas Bénabar. Toutes nos excuses, nous paierons sans rechigner si vous nous faites parvenir le bon. ».