« La poitrine, les doudounes, les nénés, les lolos, les nibards, les nichons, les roberts, les flotteurs », les seins quoi. Voilà le thème de la « Chronique de Constance » de ce mardi 28 août dans l’émission « Par Jupiter » sur France Inter. Dans le studio de la radio qui a vu Nicolas Hulot annoncer sa démission dans la matinée, l’humoriste a conclu l’après-midi en feu d’artifice en dévoilant ses seins.
Pour déplorer qu’en France « des scandales éclatent quand les femmes osent allaiter leur bébé dans un endroit public » mais également pour provoquer les puritains et les moralistes de toutes religions, la comédienne a donc fini sa chronique topless.
« Il faut faire la nique à ces moralisateurs qui nous disent qu’on est pervers avec notre peau qu’on aère alors que eux ils ont juste un problème avec leur zizi », lâche-t-elle avant de se mettre poitrine à l’air provoquant l’hilarité du studio.
La séquence avait fait parler d’elle et totalise depuis 1,3 million de vues sur YouTube, où elle n’a étonnamment pas été censurée mais qui est astreinte à une vérification d’âge.
Mais l’humoriste a aussi dénoncé samedi le « trop d’amour » reçu depuis sur les réseaux sociaux. Elle l’a fait en publiant sans les anonymiser les messages publics ou privés à son encontre. Où l’on peut voir que, de propositions indécentes en insultes machistes, le message antimachos n’a pas été compris par tout le monde.
Mais Constance a fit des émules. Sûrement jalouse de cette notoriété subite, Christine Boutin, (dont les propos n’intéressent personnes au point que son livre paru en 2015 n’a trouvé que 38 acquéreurs) était invitée sur Radio Vatican ce vendredi. Et là, l’impensable s’est produit, puisque l’ex-ministre a exhibé ses saints à la fin de la chronique.
On n’a pas vraiment compris les motivations qui ont poussées Christine à cet acte osé, tant le discours de madame Boutin est, comme toujours, sibyllin. Mais les réaction sur la page de Radio Vatican ont été nombreuses et variées.
Une parti des auditeurs saluaient ce geste. Au moins 5000 « 1 like = une prière » ont été posté.
D’autres se sont insurgés véhémentement contre cette exhibition, outrés de voir des images pieuses dégradées sur un tel support.
, écrivait par exemple un certain Philippe B. de Lyon.
Les dirigeants de Radio Vatican n’ont pas encore émis de commentaire, ou condamné ce geste effectué sur leurs antennes. Le pape quant à lui, s’est refusé à tout commentaire