C’est l’une des conséquences des attaques terroristes, les signalements pour « radicalisation » se multiplient dans notre société. Selon nos informations, l’attention des policiers de la DGSI a été portée, en un peu moins de trois semaines, sur des cas de radicalisation dans les commerces de proximité de la région parisienne.
Le préfet de Paris a de suite ordonné la fermeture des commerces visés. Une décision prise en vertu de l’article L. 227-1 du Code de la sécurité intérieure, « aux seules fins de prévenir la commission d’actes de terrorisme ». Se fondant sur des informations récoltées par les services de renseignement, la préfecture précise que « la vente d’aliments voilés provoquent à la violence, à la haine et à la discrimination et font l’apologie d’actes de terrorisme ».