Ça y est ! La campagne électorale en France va enfin pouvoir se dérouler dans la quiétude. Batman a mis le fauteur de troubles hors d’état de nuire. Le chevalier noir est apparu cet après-midi, alors qu’Emmanuel Macron, en citant Zola, dans son livre « Les Misérables », galvanisait les foules : « À vaincre sans péril, on évite les ennuis ! ». Ne le laissant pas finir, l’homme chauve-souris, a mis un terme au meeting en capturant Macron à l’aide de son bat-grappin, pour ensuite prendre la parole : « Je tiens à m’excuser pour tout ce qu’il vous fait subir depuis un an, je sais que ça n’a pas été drôle. Je l’emmène là où il doit être : à l’asile. J’aurais dû le faire il y a longtemps ; les symptômes de sa folie étaient flagrants, mais personne ne voulait agir. Je vous promets qu’il n’ennuiera plus personne. » Il a ensuite disparu avec son captif.
Dans toute la classe politique, on a unanimement salué cet exploit. « Cela devenait pénible d’écouter ce type. Il sortait connerie sur connerie, son programme n’avait aucun sens. Je suis bien contente qu’on en soit débarrassé » lâche une candidate qui a voulu rester dans l’anonymat, car elle souhaite rester à 26%. Le Président Hollande s’est dit soulagé mais demande que Batman se charge également de s’occuper de Marine l’Empoisonneuse, de Fillon l’Épouvantail et de Nathalie Artley Quinn.
Fillon s’explique sur le coût de ses costumes : « Je suis Batman ! »