14 novembre, 3h30 du matin, l’ambiance est à son apogée dans la boite Uccloise « L’O- cam ». Johnny, plus connu sous le nom de Dj Hadist, est en plein mix. Soudain, 3 policiers surgissent dans la salle et le menottent. Un des flics témoignent: « en passant régulièrement « sex bomb » de Tom Jones, Dj Hadist était fortement soupçonné de faire l’apologie de la violence et des thèses djihadistes, il fallait intervenir ».
Emmené de force au commissariat, Johnny y aurait subi un interrogatoire serré de plus de 8 heures.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Selon diverses sources, des incidents auraient éclaté entre les forces de l’ordre et les fêtards lorsque sur le ton de l’humour, ces derniers, un peu éméchés il est vrai, auraient chanté « ah qu’est-ce qu’on est serré au fond de cette boite » en encerclant les policiers. Se sentant agressés, les agents auraient fait usage de leur teaser.
Dj Hadist a depuis lors été libéré mais reste sous le choc. Il a selon ses dires décidé de ne plus passer que du Chantal Goya, mais craint, à raison sûrement, que ses soirées ne connaissent plus le même succès.
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