Toute l’Angleterre est choquée. En séjour aux États-Unis pour apporter son soutien aux juifs noir-américains atteint du Coronavirus, Sting s’est vu interpelé par une milice locale qui l’ont confondu avec un alien et placé en garde à vue dans un bunker secret de la zone 51.

Les faits se sont déroulés dans les rues de la ville de New York ou Sting a été aperçu aux côtés d’une prostituée avant d’être arrêté. L’un des membres de la milice locale, Bobby, explique : « Dès que je l’ai vu, j’ai tout de suite compris que s’en était un. Je les repère facilement moi, j’ai l’œil grand ouvert et je ne veux pas de gens comme ça dans mon pays, dans ma ville. »

La jeune femme, interrogée, se confesse : « Il avait un pull jaune et noir à rayures, et c’est vrai que je n’ai pas tout de suite compris qui il était et surtout d’où il venait. Il m’a dit qu’il venait d’Angleterre ou quelque chose comme ça. Je n’aurais jamais dû faire confiance à une créature pareille « . La dénommée Roxanne risque également  plusieurs années de prison pour complicité de délit d’immigration illégale.

Pour sa défense, le chanteur rappelle qu’il n’est ni un alien ni un immigré illégal. Malheureusement, des enregistrement audios datés de 1987 prouvent bel et bien le contraire. Le chanteur risque l’expulsion de notre planète.

Les réactions du grand public sont mitigées : Maître Gims nous a fait part de son étonnement : « Et dire que j’ai travaillé avec lui. Il ne faudrait jamais faire confiance avec les gens de son espèce. Et dire qu’il a travaillé dans la Police avant… ». À l’inverse, Mylène Farmer, elle aussi collaboratrice, est indignée. Des manifestations se dérouleront dans toutes les capitales le week-end prochain avec pour mot d’ordre : « Free Sting », ou « Sortez le dard » en français.

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