Ayant compris qu’il risquait réellement d’emporter l’élection présidentielle, Donald Trump quitte la course à l’investiture républicaine et avoue son canular.

« C’était une blague, mais ils sont tellement cons qu’ils y ont cru ».

C’est sur ces mots que l’excentrique milliardaire à la mèche a mis fin à ce qui pourrait devenir le plus grand canular de l’histoire (après, peut-être, l’existence de régimes politiques communistes).

Après le désistement de ses deux derniers rivaux, les Dupont et Dupond du parti républicain, messieurs Ted Cruz et John Kasich, l’époux de la jolie Mélania a enfin pris conscience d’un possible destin présidentiel. Et, le moins que l’on puisse écrire, c’est que ce destin, il n’en veut pas.

A ce propos, Donald a déclaré ceci lors de la conférence de presse qui a suivi son abandon: « Ma candidature, c’était un Fake, une supercherie. Je m’emmerdais comme seuls peuvent s’emmerder les milliardaires. J’avais du temps et de l’argent.Je me suis donc dit , en m’inspirant d’un humoriste français au début des années 80, pourquoi ne ferais-je pas une blague à mes concitoyens. C’est pour cette raison que j’ai monté cette fausse candidature à l’investiture républicaine ». Il a même ajouté, avec toute la retenue qui le caractérise, quelques instants plus tard: « Avec le nombre de conneries que j’ai pu dire, je pensais que cela allait se voir, mais non, cette bande de veaux est entrée dans mon jeu »!

C’est donc en voyant ses deux derniers adversaires républicains jeter l »éponge qu’il a pris la mesure de la tâche qui l’attendait. « Comment voulez-vous que je gère un pays de plus de 300 millions d’habitants, dont une grande majorité n’est pas très intelligente, alors que j’ai déjà du mal à nouer mes lacets ».

Voilà donc un sacré rebondissement dans la course à la maison blanche et une fameuse épine dans le pied du camp républicain. Camp républicain qui, en désespoir de cause et pour rester dans les comiques, songe à rappeler Jeb Bush afin de se donner une dernière chance d’accéder à la fonction suprême. Il est à noter que Jeb Bush serait le troisième représentant de cette célèbre famille de clown à briguer la présidence des États-Unis.

Voilà une campagne présidentielle décidément fort étrange. Que peut-il encore se passer? Hilary Clinton va-t-elle enfin révéler que, à l’instar de Margaret Thatcher, elle n’est pas une femme?

Docteur GG

 ATTENTION – VIDÉO à ne pas manquer !

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