On en parle bien souvent, des petites méthodes putaclic de nos con-frères de Sudpresse.
Notamment celle qui consiste à aller choper une photos sur Facebook d’une personne décédée/incriminée dans un truc,… sans l’autorisation de la personne ou de sa famille. Même si au niveau du droit à l’image c’est un peu flou (entre le droit à la vie privée et le fait que la photo soit sur un réseau social…), il s’agit quand même d’un journal subsidié à hauteur de plusieurs millions d’euros par an qui se permet de cracher sur la déontologie et la dignité humaine sans que cela ne fasse réagir ceux qui devraient le faire, à commencer par le ministre PS Marcourt en charge des aides à la presse, qui semble autant intéressé par la protection de la dignité humaine que par le socialisme #Lolilol.
Ici on touche vraiment le fond et on est « contents » de pouvoir exposer cette méthode avec des témoins puisqu’on a été contactés par un proche de cette personne, décédée sur la route hier et qui est aujourd’hui utilisée pour générer du clic sur le site de Sudpresse.
Rodolphe Magis, le rédac chef de Liège de Sudpresse, va même poster le lien dans des groupes de contrôle de police… C’est beau.
Tandis que sur le site, on trouve un super encart rouge qui pousse à s’abonner à l’édition spéciale pour avoir tous les détails… Ca intéresse qui ? Il ne s’agit pas « d’hommage », mais de voyeurisme dégueulasse. A quoi ça sert de montrer la photo de la voiture où la dame est décédée ?
On trouve également d’autres photos de la dame décédée, piochée sur son compte Facebook. La classe.
Arnaud Bisschop, le journaliste à l’origine de cet article, semble habitué des articles putassiers puisqu’il est également l’auteur de celui qui montrait la mort en direct de gens dans un crash avec un conducteur fantôme. Un truc qui nous a valu 4 courriers d’avocat d’ailleurs. Tout est dans tout.
Ah le plus rigolo c’est que Rodolphe Magis, c’est notre ami qui nous avait appelé pour nous menacer et a porté plainte à la police contre nous. Bisous l’ami.