C’est le constat révélé par une équipe de sociologues et psychologues de l’université du Wisconsin, 85% des adeptes du duckface sont et resteront célibataires pour encore un bon bout de temps.
Si la conclusion peut interloquer, les experts expliquent qu’en premier lieu, l’attitude devant l’objectif évoque un cruel besoin de plaire on ne peut plus manifeste, et la gente masculine ne s’intéresse que peu aux affamées. La finalité picturale, elle, n’est malheureusement pas souvent à hauteur des espérances, variant au mieux entre la tentative de baiser grossier et peu appétissant, et au pire, aux lamentations d’une carpe en train de s’étouffer. L’effet ne va pas attirer le gibier. Et dernièrement, au lieu de vous mettre en avant, le cliché risque au contraire de vous fondre dans une basse-cour déjà fort peuplée de ducky monkey.
Mais les experts ne sont pas fatalistes, si certaines arrivent à se décoincer la mâchoire et adopter une pose un peu plus gracieuse, il y a fort à parier qu’elles augmenteront leurs chances de se faire remarquer.