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vendredi, mars 29, 2024

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[Portrait] L’immigré qui volait le travail d’un français tout en étant un chômeur qui profite des aides sociales

Découvrez l’incroyable histoire d’un immigré, Batoul, arrivé d’Afghanistan à 24 ans, dans la force de l’âge, et qui cristallise tout ce que le peuple de France profonde abhorre.

Il vient de débarquer tout fraîchement armé de son incroyable talent sociétal-apocalyptique : faire deux choses à la fois contradictoires et énervantes pour les français. Ce jeune afghan, comme beaucoup de migrants des années 2010, a traversé bien des pays et bravé bien des difficultés pour l’espoir d’un avenir meilleur.

Mais ce que Batoul ne sait pas, c’est que cet avenir meilleur qu’il recherche, est actuellement entre les mains d’un homme de type européen. Et qu’en mettant les pieds dans cette 5ème puissance mondiale, il va provoquer, lui et ses 10 000 congénères qui arrive chaque année dans ce pays, un gouffre financier pour l’Etat et une misère sociale pour les nationaux, entraînant avec lui la pauvreté de tous les autres patriotes qui ne demandent qu’à vivre de leur force de travail.

Aussi étonnant que celà puisse paraître, ce n’est pas l’objectif final de Batoul : « J’espère que vivre sur Terre ne sera pas, à la longue, prohibé […] Finalement, plus le temps passe, plus je me dis que je devrais rendre ce boulot de balayeur de rue à Bernard… Si je n’étais pas là Bernard aurait sûrement postulé à ce poste…« .

Mais Batoul ne compte pas pour autant, après avoir rendu le travail qu’il a volé à Bernard, s’arrêter là: « Pour arrêter de voler le travail des autres, il faut que je m’arrête de travailler. C’est là que je me suis dit que la législation française permettait à quelqu’un qui ne travaille pas me permettait de profiter des aides sociales. »

Il est alors rapidement accusé de profiter du système social très profitable mis en place par les gouvernements de gauche qui se sont succédés depuis 1980 : « Aujourd’hui je ne travaille pas et je touche plus de 4 000€ par mois. J’ai les allocs, les APL, les indemnités de départ, les indémnités de pénibilités, les indemnités de souffrance morale d’avoir rendu mon travail… Je compte faire 8 enfants« .

Finalement, Batoul affirme se sentir bien en France, même si les nationaux ne sont pas, de ses propres mots, « très rusés dans leur majorité« . D’éleveur de brebis des montagnes d’Asie Centrale à jeune homme prospère dans un pays de moins en moins riche, il aura finalement réussi, de son talent suprenant, son grand pari.

Jean-David Dreyfus, pour Nordpresse.

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