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vendredi, mars 29, 2024

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Un carniste speciste zoophilie se venge d’une mouche et prend 10 ans de prison

Randy, un carniste, spéciste, zoophile, et peut-être même pédophile, a été condamné aujourd’hui à 10 ans de prison ferme dans l’État du Texas pour s’être venger d’une mouche à l’aide de deux écouteurs de son téléphone. L’homme après avoir passé des années à souffrir de manière auditive à cause des nombreuses mouchkil empêcher de dormir à décider un jour de prendre sa revanche contre l’une d’entre elles en lui faisant écouter tout le répertoire de Michel Sardou. La mouche serait morte au bout de 6 heures de souffrance. L’homme en plus de la prison, sera également condamné à écouter toute la discographie d’Hugues Aufray.

Ce n’est pas la première fois que quelqu’un a condamné pour avoir massacré un insecte puisque l’année dernière un homme a également été condamné cette fois à 5 ans de prison pour avoir tué une termite qui essayé de rentrer dans sa cabane au Canada.

Moi monsieur j’ai fait la colo,
Dakar, Conakry, Bamako.
Moi monsieur, j’ai eu la belle vie,
Au temps béni des colonies.
Les guerriers m’appelaient Grand Chef
Au temps glorieux de l’A.O.F.
J’avais des ficelles au képi,
Au temps béni des colonies.

On pense encore à  toi, oh Bwana.
Dis-nous ce que t’as pas, on en a.
Y a pas d’café, pas de coton, pas d’essence
En France, mais des idées, ça on en a.
Nous on pense,
On pense encore à  toi, oh Bwana.
Dis-nous ce que t’as pas, on en a.

Pour moi monsieur, rien n’égalait
Les tirailleurs Sénégalais
Qui mouraient tous pour la patrie,
Au temps béni des colonies.

Autrefois à  Colomb-Béchar,
J’avais plein de serviteurs noirs
Et quatre filles dans mon lit,
Au temps béni des colonies.

On pense encore à  toi, oh Bwana.
Dis-nous ce que t’as pas, on en a.
Y a pas d’café, pas de coton, pas d’essence
En France, mais des idées, ça on en a.
Nous on pense,
On pense encore à  toi, oh Bwana.
Dis-nous ce que t’as pas, on en a.

Moi monsieur j’ai tué des panthères,
A Tombouctou sur le Niger,
Et des Hypos dans l’Oubangui,
Au temps béni des colonies.
Entre le gin et le tennis,
Les réceptions et le pastis,
On se s’rait cru au paradis,
Au temps béni des colonies.

On pense encore à  toi, oh Bwana.
Dis-nous ce que t’as pas, on en a.
Y a pas d’café, pas de coton, pas d’essence
En France, mais des idées, ça on en a.
Nous on pense,
On pense encore à  toi, oh Bwana.
Dis-nous ce que t’as pas, on en a.

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